Le
vampire fut popularisé au début du
XVIIIe siècle et émergea plus spécifiquement en Europe orientale, particulièrement dans les
Balkans. Dans ces traditions folkloriques, les vampires étaient dépeints comme des revenants en linceul qui, visitant leur aimée, causaient mort et désolation dans le voisinage. À la même époque, le
bénédictin français
Augustin Calmet, le décrit comme un « revenant en corps », se distinguant ainsi des revenants immatériels.